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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 06:58

Dans la série "
moquons-nous des candidats à la présidentielle" (voir ici), allons jeter un oeil chez ce drôle de garçon, Bruno Candida, candidat virtuel à la présidentielle de 2007.
Son idée: remixer les discours des vrais candidats pour leur faire dire n'importe quoi. Ses cibles: Sarko, Ségo, de Villiers, Le Pen... Absurde garanti.
Le site de Bruno Candida, ici.

Un extrait vidéo de l'intronisation de Sarkozy:

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1 mars 2007 4 01 /03 /mars /2007 07:14
A lire, cette carte blanche de David Abiker, publiée dans le Blog Médias, où l'auteur s'amuse à "copier-coller" des bouts de discours et de slogans de nos amis politiques. C'est drôle, absurde, ironique et subtil à la fois.
Je vous invite, chers lecteurs du monde entier, à faire de même et à vous creuser les méninges pour vous aussi, trouver le super slogan de demain! Au boulot.
A tester: le générateur de langue de bois, ici (merci à Dom)


Extrait de la carte blanche:

L'enfer

(...) Si j’arrêtais d’hésiter, c’est clair, je ferais des propositions concrètes pour que ça bouge. Dans le bon sens. Ou que ça change, mais dans le sens inverse. D’autant plus que ce que veulent les Français c’est qu’on soit à leur écoute et qu’on fasse de la politique autrement. Ils en ont assez des promesses non tenues et des belles paroles. Je crois que ce qui est important, c’est qu’on soit résolument tourné vers l’avenir de nos jeunes, qu’ils vivent au centre ou en périphérie. Dans les deux cas, il faut vraiment libérer les énergies, c’est comme ça qu’on pourra avancer même si, bien sûr, on ne peut accueillir toute la misère du monde. Et pour avancer, rien de mieux qu’une grande marche de femmes, centrée sur la mixité et la tolérance, à moins qu’on organise une parade des nouvelles solidarités « transgenres » ou mieux, un lâché de ballons pour la paix. Il faut, quel qu’en soit le prix à payer, rester mobilisés dans nos forums participatifs. Du reste, on ne fera rien si tout cela ne s’inscrit pas dans une logique durable et humaine. Et je ne crois pas me tromper en affirmant que, sans une approche centrée sur le co-développement, rien ne sera possible. Sauf à s’y mettre tous ensemble, demain en vue de poursuivre les luttes. Ensemble, oui, mais dans la diversité et dans une dynamique de rassemblement de manière à ce que s’expriment les idées au sein de débats résolument axés sur des objectifs de partage. Il faudra très vite recenser les bonnes pratiques (...)

Le texte en entier ici.
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18 février 2007 7 18 /02 /février /2007 00:10

Méfiez vous! Depuis quelques semaines, un monstre politico-médiatique hybride rôde un peu partout.
Explication: à force de voir Sarko et Ségo à la une de tous les journaux (qui disent les mêmes choses), un effet secondaire horrifique est apparu : ils ont fusionné. Voici le Sarkolène...


A lire aussi cet article publié dans l'humanité:


« Ras-le-bol du show médiatique »
 
Un appel de journalistes des cinq sociétés de l’audiovisuel public pour des débats contradictoires.

Des journalistes des cinq sociétés de l’audiovisuel public (France 2, France 3, Radio France, RFI et RFO) ont décidé de lancer « un appel pour des débats contradictoires » à la télévision dans le cadre de la campagne présidentielle. L’initiative n’est pas sans rappeler l’appel qui avait rassemblé 18 000 signatures au printemps 2005 quand des journalistes avaient dénoncé la censure dont étaient victimes les partisans du « non » au référendum..

Partant du constat que « 75 % des Français sont intéressés par l’élection présidentielle » mais que « 71 % estiment que les débats sont de mauvaise qualité, 84 % que les critiques personnelles occupent trop de place et 57 % que les vrais problèmes ne sont pas abordés », ces journalistes en appellent à leurs directions. Ils notent que « des enseignements ont été tirés de la couverture de la campagne 2002 » (les émissions politiques ont retrouvé une place en première partie de soirée). Mais - le CSA s’en est lui-même inquiété - « les temps de parole ne sont toujours pas équilibrés entre les différents candidats, la bipolarisation est encore très présente. Tous les candidats, quelle que soit leur renommée et leur importance, doivent être traités à égalité. »

« Journalistes de l’audiovisuel, nous ne voulons pas que le fossé se creuse encore un peu plus entre nous et les citoyens qui nous financent au travers de la redevance, indique le texte de leur appel (...). Nos émissions et reportages doivent répondre à leurs attentes, à leurs préoccupations, quelles que soient leurs appartenances politiques. Nous devons leur permettre de se prononcer au premier tour en ayant connaissance des programmes des différents candidats. Nous ne pouvons cautionner la dérive populiste qui consisterait seulement à donner la parole à des panels de citoyens interpellant directement les candidats, les journalistes étant cantonnés dans le rôle de M.Loyal, porteurs de micros et ne pouvant exercer leur droit de suite sur les propos tenus par les différents candidats ». Les signataires ne se satisfont pas « d’émissions d’info-communication où un seul candidat est invité à parler de ses propositions au prétexte que les grands candidats refuseraient tout débat contradictoire ».

(...)

Claude Baudry

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15 février 2007 4 15 /02 /février /2007 08:21

Avis à ceux qui s'intéressent à la Russie et aux relations stratégiques internationales. Le 10 février, Vladimir Poutine est intervenu devant la conférence de Munich sur la sécurité. Avec un aplomb et un franc-parler surprenant pour un chef d'état, il a
vivement dénoncé la politique unilatérale suicidaire américaine (tout en citant Roosevelt!). Il a aussi abordé la question des ONG qui tentent de déstabiliser la Russie sur ses frontières.
A lire pour comprendre un peu mieux les changements en cours là-bas et pour sortir un peu des habituels clichés sur Poutine (empoisonneur, tueur, dictateur ...)


Quelques extraits: La gouvernance unipolaire est illégitime et immorale

(Source: Réseau Voltaire)


(...)

On sait que les problèmes de la sécurité internationale sont bien plus larges que ceux de la stabilité militaro-politique. Ces problèmes concernent la stabilité de l’économie mondiale, la lutte contre la pauvreté, la sécurité économique et le développement du dialogue entre les civilisations.

 

Le caractère universel et indivisible de la sécurité est reflété dans son principe de base : « la sécurité de chacun signifie la sécurité de tous ». Franklin Roosevelt avait déclaré au début de la Seconde Guerre mondiale : « Où que la paix soit rompue, c’est le monde entier qui est menacé ».

 

Ces paroles restent valables aujourd’hui. D’ailleurs, le sujet de notre conférence en témoigne : Les Crises globales impliquent une responsabilité globale.

(...)

Qu’est ce qu’un monde unipolaire ? Malgré toutes les tentatives d’embellir ce terme, il ne signifie en pratique qu’une seule chose : c’est un seul centre de pouvoir, un seul centre de force et un seul centre de décision.

C’est le monde d’un unique maître, d’un unique souverain. En fin de compte, cela est fatal à tous ceux qui se trouvent au sein de ce système aussi bien qu’au souverain lui-même, qui se détruira de l’intérieur.

 

Bien entendu, cela n’a rien à voir avec la démocratie, car la démocratie, c’est, comme on le sait, le pouvoir de la majorité qui prend en considération les intérêts et les opinions de la minorité.

 

A propos, on donne constamment des leçons de démocratie à la Russie. Mais ceux qui le font ne veulent pas, on ne sait pourquoi, eux-mêmes apprendre.

(...)

Nous sommes en présence de l’emploi hypertrophié, sans aucune entrave, de la force - militaire - dans les affaires internationales, qui plonge le monde dans un abîme de conflits successifs. Par conséquent, aucun des conflits ne peut être réglé dans son ensemble. Et leur règlement politique devient également impossible.

 

Nous sommes témoins d’un mépris de plus en plus grand des principes fondamentaux du droit international. Bien plus, certaines normes et, en fait, presque tout le système du droit d’un seul Etat, avant tout, bien entendu, des États-Unis, a débordé de ses frontières nationales dans tous les domaines : dans l’économie, la politique et dans la sphère humanitaire, et est imposé à d’autres États. À qui cela peut-il convenir ?

(...)

Les pays de l’OTAN ont ouvertement déclaré qu’ils ne ratifieraient pas le Traité, dont les dispositions relatives aux limitations dans la zone des « flancs » (déploiement sur les « flancs » d’un certain nombre de forces armées) tant que la Russie ne procéderait pas au retrait de ses bases de la Géorgie et de la Moldavie. Le retrait de nos troupes de la Géorgie est en cours et ce, à un rythme accéléré. Tout le monde sait que nous avons déjà réglé ces problèmes avec nos collègues géorgiens. Quant à la Moldavie, on y trouve pour le moment une formation de 1 500 militaires chargés de maintenir la paix et de protéger les entrepôts de munitions qui y subsistent depuis l’époque soviétique. Nous discutons en permanence de cette question avec Monsieur Solana : il connaît bien notre position. Nous sommes prêts à aller plus loin dans cette direction.

 

Mais que se passe-t-il pendant ce temps-là ? Eh bien, on voit apparaître en Bulgarie et en Roumanie des « bases états-uniennes légères avancées » de 5 000 militaires chacune. Il se trouve que l’OTAN rapproche ses forces avancées de nos frontières, tandis que nous - qui respectons strictement le Traité - ne réagissons pas à ces démarches.

 

Il est évident, je pense, que l’élargissement de l’OTAN n’a rien à voir avec la modernisation de l’alliance, ni avec la sécurité en Europe. Au contraire, c’est un facteur représentant une provocation sérieuse et abaissant le niveau de la confiance mutuelle. Nous sommes légitimement en droit de demander ouvertement contre qui cet élargissement est opéré. Que sont devenues les assurances données par nos partenaires occidentaux après la dissolution du Pacte de Varsovie ? Où sont ces assurances ? On l’a oublié. Néanmoins, je me permettrai de rappeler aux personnes présentes dans cette salle ce qui a été dit. Je tiens à citer des paroles tirées du discours de M. Werner, alors Secrétaire général de l’OTAN, prononcé à Bruxelles le 17 mai 1990 : « Que nous soyons prêts à ne pas déployer les troupes de l’OTAN à l’extérieur du territoire de la RFA, cela donne à l’Union soviétique des garanties sûres de sécurité ». Où sont aujourd’hui ces garanties ?

(...)

Et encore un thème très important qui influe directement sur la sécurité globale. On parle beaucoup aujourd’hui de la lutte contre la pauvreté. Mais qu’est-ce qui se produit en réalité ? D’une part, des ressources financières - et souvent importantes - sont allouées à des programmes d’assistance aux pays les plus pauvres. Quoi qu’il en soit, et beaucoup le savent ici également, il n’est pas rare que les compagnies des pays donateurs eux-mêmes « les utilisent ». D’autre part, l’agriculture dans les pays industrialisés est toujours subventionnée, alors que l’accès des hautes technologies est limité pour d’autres.

 

Appelons donc les choses par leurs noms : il s’avère qu’une main distribue les « aides caritatives », alors que l’autre entretient l’arriération économique, mais récolte aussi des bénéfices. La tension sociale surgissant dans de telles régions dépressives se traduit inévitablement par la croissance du radicalisme et de l’extrémisme, tout en alimentant le terrorisme et les conflits locaux. Et si tout cela se produit de surcroît, par exemple, au Proche-Orient dans le contexte d’une vision aggravée du monde extérieur, en tant que monde injuste, une déstabilisation globale risque de se produire.

 

Il va sans dire que les principales puissances mondiales doivent voir cette menace et organiser, par conséquent, un système plus démocratique et plus équitable de rapports économiques qui donne à tous une chance et une possibilité de développement.

 

Intervenant à une conférence sur la sécurité, on ne peut pas, non plus, Mesdames et Messieurs, passer sous silence l’activité de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). L’OSCE a été créée pour examiner tous les aspects, je tiens à le souligner, tous les aspects de la sécurité, qu’il s’agisse des aspects politico-militaires, économiques ou humanitaires et ce, dans leurs rapports réciproques.

 

Mais que voyons-nous aujourd’hui en réalité ? Nous voyons que cet équilibre est manifestement perturbé. On essaie de transformer l’OSCE en instrument vulgaire au service des intérêts politiques extérieurs d’un seul pays ou d’un groupe de pays à l’égard d’autres États. Et c’est pour cette tâche, que l’on a aussi « monté de toutes pièces » l’appareil bureaucratique de l’OSCE qui n’est nullement lié aux États fondateurs. On a « monté de toutes pièces » pour cette tâche également les procédures d’adoption des décisions et d’utilisation des fameuses « organisations non gouvernementales (ONG) ». Formellement, il s’agit effectivement d’organisations indépendantes, mais financées rationnellement et, par conséquent, contrôlées.

 

Conformément aux documents fondateurs, dans la sphère humanitaire, l’OSCE est appelée à accorder aux pays membres, à leur demande, un concours en matière de respect des normes internationales dans le domaine des droits de l’homme. C’est une importante mission. Nous la soutenons. Mais cela ne signifie pas qu’on peut s’ingérer dans les affaires intérieures d’autres pays et encore moins tenter de leur dicter la manière dont ils doivent vivre et se développer.

(...)


Le texte en entier ici

 
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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 08:39

A lire ce bon article sur la crise économique et financière de Michel LAMY, secrétaire national CFE-CGC.



Extrait:

Du point de vue économique et financier, nous vivons sur une sorte de bombe à retardement, dont les mèches susceptibles de provoquer l’explosion sont qui plus est multiples. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la crise boursière issue de la folie technologique est loin d’être résorbée.
(...)
Pour résumer la situation :
Des salaires limités pour éviter l’inflation et pouvoir maintenir des taux d’intérêt bas.
Des ménages encouragés à s’endetter pour consommer.
Des fonds de pension dans l’obligation de rattraper leurs pertes rapidement et de plus en plus exigeants quant à la rentabilité de leurs placements.
Une spéculation se développant dès lors sur tous les marchés qui s’y prêtent.
Des liquidités surabondantes, l’inflation des actifs remplaçant du coup celle des prix.
Une bourse qui repart à la conquête de sommets sans liens avec l’économie réelle.
(...)


La suite ici
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14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 10:19

Jean Vanier (né en 1928 au Canada) est une personnalité humaniste catholique qui s'est consacré aux personnes handicapées mentales : il a créé la Communauté de l'Arche en 1964 et l'association Foi et lumière.


"La prise de conscience que nous appartenons à une humanité commune, et que cette appartenance est plus fondamentale que tout autre appartenance, a changé beaucoup de mes attitudes et ma vision de l'être humain. Elle m'a aidé à me libérer de compulsions égocentriques et de blessures intérieures, m'a incité à mieux accueillir ceux qui sont différents, les « étrangers », et même ceux qui nous agressent, les « ennemis ». Passer de l'égoïsme à l'amour, de l'esclavage à la liberté, de l'enfermement sur soi à l'ouverture aux autres, c'est grandir ; c'est le chemin vers la pleine maturité humaine.

Nous sommes tous appelés à la libération du coeur, à nous ouvrir aux autres et à découvrir ce qui fait le fond de notre être, notre humanité commune. Mais cette libération est un long cheminement, depuis l'angoisse et l'enfermement sur nous-mêmes, où nous nous sentons coupés des autres, jusqu'à un amour plénier qui nous transforme et nous permet d'aider les autres à se transformer. Ce cheminement, nous ne pouvons l'accomplir seuls [...]

On peut s'étonner que les faibles et les exclus puissent être des maîtres en humanité, mais c'est la vérité que je découvre en vivant avec eux".

Jean Vanier, Accueillir notre humanité, Ed. Presses de la Renaissance


Jean Vanier

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19 décembre 2006 2 19 /12 /décembre /2006 12:58
Première bonne nouvelle:
LOS ANGELES (Reuters) - Les internautes pourront prochainement explorer les canyons de Mars et faire l'expérience d'un vol virtuel au-dessus de la surface de la Lune, grâce à un accord annoncé lundi entre le moteur de recherche Google et le Centre Ames de recherches de la Nasa.

Cet accord est la première d'une série de nouvelles collaborations entre Google et la Nasa, qui comptent travailler ensemble à résoudre une vaste gamme de problèmes techniques afin de rendre le matériel de la Nasa, actuellement éparpillé sur le web, plus accessible au grand public.

L'un des projets permettra aux internautes de découvrir des détails de Mars et de la Lune selon un concept comparable à celui de Google Earth.
                                                                           
INFO DE DERNIERE MINUTE:
A la surprise générale, Georges Bush vient d'annoncer à la communauté scientifique américaine son intention d'envoyer un homme sur le soleil dans les dix années à venir. Répondant à un scientifique qui doutait de la réussite d'une telle mission (soleil=chaleur), le président a répondu:
- Nous avons beaucoup réfléchi et finalement nous avons décidé d'y aller de nuit.

PS: une des deux nouvelles est fausse, laquelle?

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18 novembre 2006 6 18 /11 /novembre /2006 09:19


La revue Fusion, c'est fini, mais voici la dernière cartouche de ce magazine pas comme les autres:

Fusion, hors série astronomie, Comment Gauss a determiné l'orbite de Céres

Au menu:

1. INTRODUCTION

2. KEPLER NOUS MET SUR LA VOIE

3. DE LA MÉTHODE, PAS DU TATONNEMENT

4. FAMILLES DE CATÉNAIRES

5. L'APPEL DE KEPLER POUR UNE NOUVELLE GÉOMÉTRIE

6. UNIR BEAUTÉ ET NÉCESSITÉ

7. L'"ORDRE HARMONIQUE" DU SYSTÈME SOLAIRE DE KEPLER

8. ORBITES PARABOLIQUES ET HYPERBOLIQUES

9. GAUSS EN ORDRE DE BATAILLE

10. S'APPROCHER DE SA CIBLE

11. A L'APPROCHE DU POINT CRITIQUE

12. UNE DIFFICULTÉ INATTENDUE NOUS CONDUIT À DE NOUVELLES DÉCOUVERTES

13. SAISIR LA GÉOMÉTRIE INVISIBLE DE LA CRÉATION

14. EN VUE DU SOMMET

15. NOUS REMPORTONS UNE NOUVELLE BATAILLE

16. NOTRE VOYAGE TOUCHE À SA FIN

17. EN GUISE DE STRETO



Présentation:

Nous vous proposons de vous emmener pour un formidable voyage, celui de la découverte de l’orbite de Cérès par un jeune mathématicien et astronome de 24 ans, Carl Friedrich Gauss. Pour arriver à bon port, nous ne prendrons pas de raccourcis. Il nous faudra même quelques fois faire un détour, nous arrêter en chemin ou revenir sur nos pas... mais vous ne serez pas déçus du voyage car les contrées que nous traverserons s’appellent géométrie, mathématique, physique et astronomie.

Fusion est disponible en kiosque
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17 novembre 2006 5 17 /11 /novembre /2006 09:32
Voici l'extrait (3ème édition) d'une interview intéressante et non conformiste dans la revue Médias avec Paul Virilio.






-
La dictature de l'émotion envahit aussi la sphère politique. Nos représentants semblent de plus en plus enfermés dans des stratégies de communication où la forme l'emporte sur le fond. Est-ce une dérive lourde de dangers?

- Regardez le phénomène Ségolène Royal. Plus elle entretient le mystère sur ses options politiques, plus sa côte monte. Elle fonctionne, pour le moment, comme une icône, une image de télévision séduisante, mais en creux. Elle n'est donc que dans le registre de l'émotion et les gens l'adoptent pour cette raison. Nous sommes soumis à des stimulis de moins en moins politisés et de plus en plus intimes. Je ne suis pas sûr que cela ait grand chose à voir avec la démocratie. Madame Royal rassure pour des raisons qui ne sont pas politiques. Il faudrait étudier le phénomène de près, mais je ne serais pas surpris si l'incarnation du symbole de la femme-mère y soit pour quelque chose.
Ce qui est intéressant, c'est qu'elle révèle de nouveaux comportements. Faut-il s'en réjouir? Je ne crois pas. Les médias ont crée un rapport direct entre le politique et les citoyens qui, d'une manière insidieuse, voire perverse, s'apparente à une nouvelle forme de fascisme(...)La "communauté d'émotion" que ces outils ont engendré s'apparente aux cultes sectaires et à leurs phénomènes hallucinatoires. Derrière cette soudaine dictature des sensations médiatiques(...)se profile le danger d'un tout nouveau totalitarisme, la possibilité inouïe d'un communisme des affects. Ce n'est pas original de dire que la télévision provoque un effet ipnotique sur les sujets qui la regardent, j'utilise le mot "sujet" à dessein. Elle hystérise, met en situation de soumission, de demi-sommeil. Pour nous sortir de cette somnolence, de cette apathie, il faut des stimulis de plus en plus violents...

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16 novembre 2006 4 16 /11 /novembre /2006 09:05
Allez, aujourd'hui je vous invite à lire quelques articles intéressants sur le worldwidewèbe.
Pour commencer un bon article sur la crise systémique globale. What's this? C'est le gros ballon spéculatif que nos amis de la piraterie financière s'amusent à gonfler depuis pas mal d'années. En gros, l'économie est devenue de plus en plus financière et de moins en moins productive. Le problème, c'est que ça ne marche pas pour tout le monde (la majorité), et que cette politique de casino tue. La bonne nouvelle, c'est que si cette bulle éclate (mais elle résiste), il faudra réorganniser le système financier international. Plusieurs options, dont la meilleure à mon goût, une régulation stricte des mouvements financiers, une orientation des capitaux vers l'économie réelle à l'échelle mondiale (santé, énergie, transports, recherche...). Une sorte de "Global New Deal", comme le voulait Roosevelt avant sa mort.
Donc, lire ici.


Second article, dans le même esprit, qui aborde la question des fonds spéculatifs, comparés en avril 2005 par le dirigeant social-démocrate allemand Münterferin à des nuées de sauterelles qui nettoient tout sur leur passage. C'est tout simplement de la piraterie financière. Le drame, c'est l'impuissance des Etats à réguler ces parasites.
Maintenant, lire ici.

Pour finir, une très bonne interview d'Emmanuel Todd dans Le Monde. Il y attaque Ségolène Royal  ("Royal peut faire perdre la gauche") et Nicolas Sarkozy ("il n'est pas Gaulliste") comme "candidats du vide", incapables de parler des vrais problèmes : crise financière globale (on y revient!), spéculation immobilière... Todd dénonce aussi le dogme du libre-échange et le déni de réalité de nos élites politiques.
Enfin, lire ici.

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