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1 novembre 2004 1 01 /11 /novembre /2004 10:58

PRINCIPES DE LA SCIENCE SOCIALE
PAR M. H.-C. CAREY (De Philadelphie)

 

henry_charles_carey.jpg


TRADUITS EN FRANÇAIS PAR MM. SAINT-GERMAIN-LEDUC ET AUG. PLANCHE

  1861

 

 

 

 

 

 

CHAPITRE XVIII :

CONTINUATION DU MÊME SUJET.

 

Notes de bas de page

 

 

1  « L'évolution du progrès s'empare maintenant d'une autre classe, la plus stationnaire qui existe en Angleterre. Un mouvement prodigieux d'émigration a fait invasion parmi les petits fermiers anglais, particulièrement ceux qui possèdent des terrains gras et argileux, lesquels envisageant une perspective fâcheuse pour la moisson future, et manquant d'un capital suffisant pour opérer sur leurs fermes les grandes améliorations qui leur permettraient de payer leurs anciens fermages, n'ont d'autre alternative que de traverser la mer pour chercher un nouveau pays et de nouvelles terres. Je ne parle pas en ce moment de l'émigration amenée par la manie de l'or, mais seulement de l'émigration forcée, produite par le landlordisme, la concentration des fermes, l'application des machines au sol et l'introduction du système moderne d'agriculture sur une grande échelle. » (Correspondance de la Tribune de New-York.)         Retour

2  COBDEN. Qu'arrivera-t-il après? et après ?
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3  « Les paysans de nos villages sont repoussés sans cesse d'un cottage à l'autre, ou expulsés de leurs cabanes, condamnés à manquer d'un toit quelconque, aussi couramment et avec aussi peu de souci de leurs goûts ou de leur bien-être personnel, que si nous faisions changer de place nos cochons, nos vaches et nos chevaux pour les faire passer d'une étable ou d'un hangar dans un autre. Sils ne peuvent avoir une maison dont le toit abrite leurs têtes, ils se rendent à l'Union et sont répartis, l'homme d'un côté ; la femme de l'autre, et les enfants ailleurs encore. C'est là une affaire réglée. Nos paysans supportent un pareil sort, ou, s'ils ne le peuvent supporter, ils meurent, et c'est chose terminée (de ce côté du tombeau), bien que nous laissions à imaginer à un catholique anglais comment les choses se passeront au grand jour où se rendront les comptes. Nous voulons dire seulement qu'en Angleterre l'oeuvre a été accomplie ; les cottagers ont été exterminés, les petites propriétés abolies, le procédé d'éviction est devenu superflu ; la parole du landlord est passée à l'état de loi, le refuge des mécontents réduit à une maison de travail, et tout cela sans qu'on ait entendu parler d'un coup de fusil, d'un coup de bâton, ou d'un projectile quelconque lancé contre quelqu'un. » (London Times.)
    « Le caractère misérable des maisons de nos paysans, par lui-même et indépendamment des causes qui ont rendu les maisons si misérables, est dégradant et démoralise les pauvres de nos districts d'une manière effrayante. Il provoque l'accroissement maladif et anormal de la population. Les jeunes paysans, dès leurs plus tendres années, sont accoutumés à dormir dans des chambres à coucher où se trouvent des individus des deux sexes, des individus mariés et non mariés. Ils perdent, conséquemment, tout sentiment de ce qu'il y a d'indélicat dans un pareil genre de vie. Ils savent aussi qu'ils ne gagnent rien à différer leurs mariages et à faire des épargnes ; ils savent qu'il leur est impossible, en agissant ainsi, de se procurer des demeures plus confortables, et que, la plupart du temps, ils doivent attendre de longues années avant de pouvoir obtenir une demeure séparée quelconque. Ils comprennent qu'en différant leurs mariages pendant 10 ou 15 ans, ils seront, au bout de ce temps, précisément dans la même position qu'auparavant et qu'ils n'en seront pas mieux pour avoir attendu. Ayant donc perdu tout espoir d'amélioration dans leur position sociale, et tout sentiment de ce qu'il y a d'indélicat à prendre femme chez soi, dans une chambre à coucher déjà occupée par des parents, des frères et des soeurs, ils se marient de bonne heure, souvent, sinon en général, avant 20 ans, et il n'est pas rare qu'ils occupent, dans les commencements de leur mariage, un lit de plus dans la chambre à coucher déjà encombrée de leurs parents. C'est ainsi que se trouve détruit le sentiment de moralité chez les paysans. Cette population ainsi dégradée s'accroit d'une façon anormale, et ses moyens de subsistance sont diminués par la concurrence croissante du nombre croissant d'individus. » (KAY. Condition sociale de l'Europe, tom. I, p. 472.)
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4  Voy. plus haut un extrait de North British Review, ch. IX, note des pages 272-273.
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5  LALOR, l'Argent et les moeurs.
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6   « Une grève considérable de mineurs vient de se terminer en Écosse, les individus ayant cédé après d'horribles souffrances et retournant à leurs travaux la rage dans le coeur. Belles relations humaines, belles relations entre l'homme et son semblable ! Une défiance réciproque, telle est l'attitude ordinaire du chef d'industrie et de l'ouvrier dans ces routes que nous parcourons, particulièrement en Écosse, où le sentiment de l'indépendance personnelle est plus prononcé et plus vif qu'il ne l'est ici. La haute prospérité des grands manufacturiers écossais est l'un des traits les plus caractéristiques de notre époque. Les maîtres de forges achètent des terres en tout lieu, depuis le Tweed jusqu'aux Orcades, rasant ces vieilles maisons charmantes qui ont produit tant d'hommes éminents, — oui, et qui les ont aussi envoyés en Amérique, — comme votre James Buchanan est là pour l'attester et comme l'atteste aussi le juge Haliburton au Canada. Une famille de maîtres de forges, celle des Baird, a acheté le Closeburn des Kirkpatrick, le Stitchell des Pringle, et autres résidences célèbres. C'est l'âge de fer dans toute l'acception du mot. Mais comment se fait-il que l'ouvrier qui produit toute cette grandeur vive si mal ? Ce peut être une très-belle chose de voir un M. Mac Buggins dépasser en richesse un Graham ou un Lindsay, être le flatteur servile d'un Buccleuch et jurer un peu, en pur Écossais, en présence des dames dans un salon. Mais que devient le pauvre M. B..., le visage tout barbouillé, triste, couvert de sueur, avec sa petite famille, à peine nourrie, grandissant comme des païens dans la terre de Knox ? Je voudrais que l'on fit quelque chose pour lui avant qu'il essayât de commettre quelque acte irrégulier dans son intérêt. » (Correspondance de la Tribune de New-York. Juin 1856.)
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7  KAY, Condition sociale de l'Angleterre et de l'Europe, tom. 1, p. 70.
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Ibid., p. 359.
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9  « Nous essayons continuellement de séparer l'ouvrier et l'ouvrage. Nous aimons qu'un individu pense et qu'un autre agisse ; mais, en réalité, les deux ne fleuriront jamais isolément ; la pensée doit diriger l'action, et l'action doit stimuler la pensée, ou bien la masse de la société restera toujours composée ainsi qu'elle l'est aujourd'hui, de penseurs maladifs et d'ouvriers misérables. Ce n'est que par le travail que la pensée peut devenir vigoureuse, et ce n'est que par la pensée que le travail peut devenir heureux. » (North British Review. Voy. plus haut la note de la p. 239 du texte, chapitre IX.)
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10  Nos législateurs sont obligés de passer la moitié de leur temps à débrouiller les mystères de la Compagnie du Dock de Puddle contre Jenkins, relativement à l'extrémité supérieure d'un champ d'une contenance de deux acres, à découvrir les commentaires qui les égareraient, relativement au détour d'une route, à la hauteur d'un pont, ou la chute d'eau relative à un drainage ; et alors il nous faut attendre qu'ils s'occupent immédiatement de prendre des décisions équitables sur notre administration coloniale, sur le gouvernement de l'Inde, sur la conservation de nos principes constitutionnels, ou la politique générale de l'Europe. » (Westminster Review. 1854. Article Réforme constitutionnelle.)
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11  Westminster Review. Janvier 1854.
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12  « La terre de vingt voisins a besoin d'un drainage commun ou d'une route commune. Rien ne peut faire opérer cette amélioration qu'un acte du Parlement qu'il faut obtenir à grands frais, et à trois cents milles du lieu où elle doit s'effectuer. Conséquemment, l'amélioration n'a jamais lieu ; la pensée même en est repoussée comme un songe ; c'est alors qu'arrivent les centralisateurs et les doctrinaires, armés de toutes sortes de blâmes contre les autorités locales et les propriétaires locaux, pour leur manque de connaissance et d'intérêt en de pareilles matières ; immédiatement une grande section de l'administration de la métropole est mise en action pour fournir, — c'est-à-dire pour soustraire artificiellement — aux provinces l'énergie que le système parlementaire lui-même a comprimée à sa source naturelle. De là résultent des dissidences, entre le sentiment des provinces et les ordres venus de la métropole, et un nouvel amoindrissement de tout l'intérêt qu'on éprouvait antérieurement pour le sujet en question. C'est ainsi qu'agissant tour à tour comme cause et comme effet, une bureaucratie compacte tend constamment à se consolider de plus en plus ; et, sans certaines causes qui sont, jusqu'à ce jour, trop fortes pour qu'elle puisse en triompher, nous serions entraînés bientôt sur la pente du système funeste de paralysation de l'Autriche et de la France, malgré toute réforme purement électorale. » (Ibid.)
    « C'est là le plus grand péril de la société anglaise ; le mal est loin d'être aussi grand que chez les nations du continent ; mais l'Angleterre est déjà sur la pente fatale. Il est temps, pour ses hommes d'État, de reconnaître que le désir universel et immodéré des emplois publics est la pire des maladies sociales. Elle répand dans tout le corps de la nation une humeur vénale et servile, qui n'exclut nullement, même chez les mieux pourvus, l'esprit de faction et d'anarchie. Elle crée une foule de gens affamés capables de toutes les fureurs, pour satisfaire leur appétit, et propres à toutes les bassesses dès qu'ils sont rassasiés. Un peuple de solliciteurs est le dernier des peuples : il n'y a pas d'ignominie par où on ne puisse le faire passer. » (MONTALEMBERT. De l'avenir politique de l'Angleterre, cité dans le Blackwood's Magazine. Mai 1856.)
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13  Le Gouvernement local autonome.
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14  W.-R. GREG. Le moyen de sortir d'embarras. Londres, 1855.
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15   « Le gouvernement anglais est tyrannique et porté à empiéter sans cesse partout où il est fort, ainsi qu'il l'est en Asie et dans les colonies, mais souple et complaisant pour les tyrans en Europe, partout où il est faible. Ceux qui ont défendu l'ouverture des lettres de Mazzini par sir James Graham, ne nous convaincront jamais que le cabinet anglais prenait soin des intérêts anglais. On n'a jamais réfuté cette opinion, qu'on avait agi ainsi pour complaire aux odieux gouvernements de Naples et d'Autriche, et que cette conduite causa la mort des frères Bandiera. Lorsque l'Autriche, en 1846, fit invasion dans la république de Cracovie,— république établie et garantie par le traité de Vienne,— et la subjugua, lord Palmerston refusa même de protester contre un pareil acte ; et, depuis, il a continué de bavarder sur le caractère sacré de ce traité, aussi souvent qu'il convient aux puissances despotiques liguées contre les libertés des nations. Ce qu'il faut entendre par «  protection » s'est révélé une fois de plus. Mais qu'est-ce que cela, comparé à notre destruction des libertés du Portugal en 1847, lorsque John Russel était aussi premier ministre ? Il ne tint pas plus de compte du droit à l'égard du Portugal, qu'on ne l'avait fait dix ans auparavant à l'égard du Canada. La question unique fut de savoir s'il nous convenait qu'une révolution juste réussit en Portugal, et la réponse fut négative. Car le royaume de Sardaigne est en voie de réforme. La Suisse est agitée par des mouvements intérieurs ; la Prusse ayant enfin obtenu un parlement pousse ses avantages contre le roi ; bien plus, il y a à Rome un Pape réformateur, et si la révolution réussit en Portugal, l'exemple sera suivi en maint autre lieu : conséquemment, juste ou non, il faut l'étouffer. » (Westminster Review. Juillet 1855. Article : De d'immoralité internationale.)
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16   « Extrait des dépêches de lord Dalhousie, du 12 février 1852 :
    «  La puissance britannique dans l'Inde ne peut songer impunément à montrer, même momentanément, une apparence d'infériorité. Lorsque je répugnerais à croire que notre empire dans l'Inde n'a de stabilité que par l'épée, il est inutile de mettre en doute que notre domination doit surtout s'appuyer sur la puissance du conquérant et doit être maintenue par elle. Le gouvernement de l'Inde ne peut, d'une manière compatible avec sa propre sûreté, apparaître un seul jour dans une attitude d'infériorité, ou espérer de maintenir la paix ou la soumission parmi les princes et les populations innombrables répandus sur l'immense circonscription de l'empire, si pendant un seul jour il laisse mettre en doute la supériorité absolue de ses armes et de sa résolution continue de la soutenir. (Livre-Bleu présenté au Parlement le 4 juin 1852, p. 66, cité dans le Westminster Review, de juillet 1855, p. 35.)
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17  Dépêche de Sir William Molesworth au gouverneur des îles Barbades.
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18  « Tout rocher dans l'Océan où peut se percher un cormoran est occupé par des troupes anglaises et possède un gouverneur, un vice-gouverneur, un garde-magasin et un garde-magasin adjoint et possédera bientôt un archidiacre et un évêque, des collèges militaires pourvus de 34 professeurs, chargés de l'éducation de 17 enseignes par an, ce qui fait une moitié d'enseigne par professeur ; et, en outre, toute espèce d'absurdité... Une guerre juste et nécessaire coûte à ce pays (l'Angleterre), à peu près cent mille livres par minute ; un fouet, quinze mille livres, et un ruban sept mille livres ; le galon pour les tambours et les fifres, neuf mille livres ; une pension pour un individu qui s'est fait casser la tête sous le pôle,— pour un autre qui a eu la jambe cassée sous l'équateur ; des subsides à allouer à la Perse, des fonds secrets pour le Thibet ; une rente annuelle à lady n'importe qui et à ses sept filles, dont le mari a été blessé en quelque lieu où nous ne devons jamais avoir eu de soldats le moins du monde, et le frère aîné renvoyant quatre autres frères au Parlement ; un tel tableau de folie, de corruption et de prodigalité doit paralyser l'activité et détruire la fortune du peuple le plus industrieux et le plus courageux qui ait jamais existé. »(Sidney SMITH.)
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19  « Une enquête récente a fait découvrir que, même dans les districts autrefois renommés pour les beaux hommes et les vaillants soldats, les habitants ont dégénéré et n'offrent plus qu'une race chétive et rabougrie. Dans les sites les plus salubres, sur le flanc des collines faisant face à la mer, leurs enfants affamés offrent aux regards des visages aussi maigres et aussi pâles que ceux qu'on pourrait rencontrer dans l'atmosphère malsaine d'une allée de Londres. Des tableaux encore plus déplorables se présentent dans les hautes terres de l'Ouest, principalement sur les côtes et dans les îles adjacentes. Il s'est rassemblé là une population considérable, si mal pourvue de moyens quelconques de subsistance, que pendant une partie de presque chaque année, 45 000 à 80 000 individus se trouvent réduits à l'indigence et ne peuvent compter absolument que sur la charité. Un grand nombre des chefs de famille occupent des clos attenant à des maisons d'une étendue de 4 à 7 acres ; mais sur ces clos, malgré leur petite contenance et l'extrême stérilité du sol, résident souvent 2, 3 et quelquefois même 4 familles. Naturellement ils vivent de la façon la plus misérable. Les pommes de terre forment la nourriture habituelle ; car le gruau d'avoine, est considéré comme un aliment de luxe qu'il faut réserver pour les beaux jours et les jours de fête ; mais la récolte des pommes de terre mêmes est insuffisante. La provision de l'année est généralement épuisée avant que la récolte suivante soit parvenue à maturité, et les pauvres se trouvent alors dans une situation tout à fait désespérée ; car la loi sur les pauvres est une lettre morte dans le Nord de l'Écosse, et l'absence d'une provision légale pour les individus nécessiteux, n'est qu'imparfaitement suppléée par les cotisations volontaires des propriétaires du sol. » (THORNTON. L'excès de population et son remède, p. 74-76.)
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20  « Les ruelles de Glasgow comprennent une population flottante de 15 000 à 30 000 individus. Ce quartier consiste en un labyrinthe d'allées parmi lesquelles des entrées innombrables conduisent à de petites cours carrées, renfermant un tas de fumier dont la vapeur s'élève au milieu. Quelque révoltant que fût l'aspect extérieur de ces lieux, je n'étais guère préparé à la malpropreté et à l'état misérable de l'intérieur. Dans quelques-uns de ces hôtels garnis (que nous avons visités la nuit) nous trouvâmes un repaire complet d'êtres humains couchés en désordre sur le parquet souvent au nombre de 15 ou 20 ; quelques-uns habillés et d'autres nus ; hommes, femmes et enfants confondus pêle-mêle. Leur lit consistait en une couche de paille moisie mêlée à des chiffons. Il n'y avait généralement que peu, ou point de meubles dans ces habitations ; le seul article de bien-être était le combustible. Le vol et la prostitution forment les principales ressources du revenu de cette population. Il ne parait pas qu'on prenne aucun souci de nettoyer ce pandemonium semblable aux étables d'Augias, ce foyer de crime, de saleté et de contagion, qui existe au centre de la seconde ville de l'Empire. » (SYMONDS. Rapport sur les tisserands travaillant au métier à la main.)
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21  L'histoire des colonies pendant un grand nombre d'années est celle d'une série de pertes et de la destruction du capital ; et si, aux nombreux millions formant le capital privé, qui ont été ainsi gaspillés, nous ajoutions plusieurs centaines de millions, produits des taxes perçues en Angleterre et dépensés à propos des colonies, la perte totale de richesse que les colonies ont occasionnée à la nation anglaise paraîtrait tout à fait exorbitante. (PARNELL.)
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