17 janvier 2010
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C'est depuis 2007 que la folie bancaire et financière a été révélée au monde comme étant ce qu'elle est : une vaste escroquerie, une attaque contre les peuples, menée par des barbares dont la capitale se trouve à Londres. Mais en 2007, ils commandaient encore à nos chefs d'états et à nos représentants.
En conséquence, depuis deux ans et demi, ce sont toutes les solutions qu'il ne fallait pas choisir que les chefs politiques du monde ont mises en œuvre (destruction des structures publiques républicaines : santé, école, retraites, justice, etc.), tout en endossant les dettes des banques et des compagnies d'assurances en échanges de leur simple parole - je n'exagère pas - qu'ils ne recommenceront pas, pendant que le système mondial de banques centrales inondait de liquidités les pires spéculateurs pour qu'ils accroissent encore leur emprise sur les économies des nations.
Aujourd'hui, la ruine menace la plupart des individus et des nations, les banques ont des bilans encore pires qu'en 2007, et les chefs politiques ne savent plus où donner de la tête pour les plus honnêtes, ou continuent d'appliquer le programme pour les plus vils, dont notre président de la république.
Mais le vent a tourné déjà depuis un moment : l'alliance Chine-Russie-Inde a décidé de survivre à l'effondrement de l'empire britannique, les génocidaires de la couronne impériale ont complètement perdu le contrôle de la conférence de Copenhague, et le peuple américain rugit face à l'incompétence et au vice qui tentent de l'écraser depuis la Maison-Blanche et Wall-Street (succursale londonienne bien connue).
Outre la violente réaction contre la parodie criminelle de programme de santé "universel" proposé par Obama, qui n'intéresse que les compagnies de santé privées, les pharmaceutiques, et les apologues de l'euthanasie - avec leur rapport qualité/coût des soins - et la catastrophe des saisies immobilières qui a rempli depuis deux ans les villages de tentes à travers tous les États-Unis, c'est maintenant aux banques de tenter de presser le citron des derniers américains disposant encore de revenus, en leur imposant des pénalités de prêteurs sur gages et des hausses arbitraires de taux d'intérêts selon leur besoin de liquidités.
Rappelons que ces banques ont reçu des contribuables de la planète entière des milliers de milliards de dollars et d'euros de la part des banques centrales et des nations (vous avez payé, cher français, pour eux aussi, si si !).
Mais toutes les orgies ont une fin, heureusement. Aux USA arrivent les élections de mi-mandat, où les élus qui ont soutenu le plan de sauvetage bancaire, comme ceux qui soutiennent le plan Obama de santé "publique", vont se faire laminer par la population enragée. Dans le même temps, Ariana Huffington, du Huffington Post, l'un des sites politiques les plus consultés aux USA, a lancé une campagne qui connaît un développement viral, et qui est à même de faire fermer - littéralement - les principales banques de Wall-Street, sans mettre en danger ce qui reste de l'économie physique US.
Cette campagne s'appelle "Move Your Money", "Bouge ton argent" en français. Un excellent article en parle sur le site Rue 89. Voici ci-dessous la vidéo de campagne qui se propage dans tous les foyers américains, avec la traduction française à la suite :
Traduction :
Il était une fois en Amérique...
Voix off : "Voici George Bailey. Le voici lorsqu'il avait 12 ans."
Des hommes tels que George Bailey dirigent de petites banques locales.
Père de George Bailey, Peter Bailey : "Tu sais, George, je pense que, d'une manière modeste, nous faisons quelque chose d'important. Nous satisfaisons un besoin fondamental : le désir d'avoir un toit et une cheminée à soi."
Ils en gagnaient correctement leur vie, mais ils rendaient aussi meilleure la vie des gens.
George Bailey : "Entrez dans le château Martini ! Que joie et prospérité règnent ici à jamais."
Mais ailleurs, des hommes tels que M. Potter avait une autre idée.
M. Potter : "Et quel est le résultat ? Une populace mécontente et paresseuse au lieu d'une classe ouvrière économe."
George Bailey : "Souvenez-vous que cette populace dont vous parlez, travaille, fait vivre cette ville, y naît et y meurt."
La cupidité d'hommes tels que M. Potter nous a plongé dans la Grande Dépression.
Taxi : "Il se passe quelque chose de bizarre à la banque, George."
George Bailey : "Je vous en supplie, ne faites pas ça ! Si Potter met la main sur cette banque de prêts et constructions, on ne verra plus une seule maison décente se construire dans cette ville !"
Congressiste US: "Ce ne sont pas ces gens à qui l'on devrait demander de payer pour le renflouement !"
Autre congressiste US : "La plupart d'entre vous, si ce n'est tous, qui êtes engagé dans ces activités, avez en réalité créé cette crise !"
Ils ont développé des institutions de plus en plus grosses, de moins en moins régulées, en ne se souciant pas de leurs clients.
Journaliste : "Bank Of America est trop grande pour qu'on la laisse s'effondrer..."
Sénateur US: "Donc, ce que vous dites, c'est que ces quatorze banques sont trop grandes pour qu'on les laisse s'effondrer ?"
Timothy Geithner, actuel secrétaire au Trésor : "Je ne pense pas, sénateur, que j'utiliserais cette formule, mais..."
Lorsque la panique a frappé, Potter et ses semblables se sont saisisl'occasion d'exploiter l'insécurité du peuple.
M. Potter : "Avez-vous vraiment relancé vos clients pour qu'ils paient leurs traites hypothécaires ?"
Peter Bailey : "Les temps sont durs, M. Potter, beaucoup sont au chômage."
M. Potter : "Hé bien, faites les saisir !"
Peter Bailey : "Je ne peux pas faire ça ! Ces familles ont des enfants !"
M. Potter : "Hé, ce ne sont pas mes enfants !"
Présentatrice Gerri Willis : "Toutes les grandes villes du pays constatent une très forte hausse du nombres de gens ayant perdu leur maison."
Mais les banques telles que la Bailey Building & Loans ont continué à soutenir leurs clients, en les gardant à flots à travers la crise.
George Bailey : "Très bien. Maintenant, Madame Thompson, combien voulez-vous ?"
Mme Thompson : "Mais c'est votre argent !"
George Bailey : "Ne vous inquiétez pas pour ça. Combien voulez-vous ?"
Mme Thompson : "Je peux me débrouiller avec 20 dollars..."
George Bailey : "20 dollars, très bien..."
Mme Thompson : "...et je veux vous signer un papier..."
George Bailey : "Vous ne me signez rien du tout. Je vous connais, je sais que vous me rembourserez quand vous pourrez, c'est bien."
Pour aggraver encore les choses, M. Potter et ses semblables se sont abaisser jusqu'à voler l'argent durement gagné des contribuables.
Présentateur : "Des millions et des millions de dollars sont payés sous forme de bonus par le géant des assurances AIG."
Autre présentateur : "Les 20 plus grandes banques renflouées ont reçus 283 milliards de dollars payés par les contribuables, et les dirigeants de ces 20 banques en péril ont malgré tout reçu d'énormes salaires."
George Bailey : "Nous devons retrouver cet argent ! Oncle Billy, écoute, réalises-tu ce qui va nous arriver si nous ne le retrouvons pas ?"
Représentant Kucinich : "Les banques thésaurisent l'argent."
Représentant Elijah Cummings : "Cela reviens à prendre ces dollars durement gagnés par les citoyens américains, pour les gifler avec !"
George Bailey : "Où est cet argent ? Te rends-tu compte de ce que cela signifie ? Cela signifie la banqueroute, le scandale, la prison ! L'un de nous deux va finir en prison, hé bien, ce ne sera pas moi !"
Pendant un moment, même George Bailey sembla sur le point de se soumettre à Potter. Se soumettre à Potter !
Mais le peuple de Bedford Falls eut une meilleure idée.
Citoyen de Bedford Falls : "Je n'aurais pas de toit au dessus de ma tête sans toi, George !"
Citoyenne américaine : "Je me suis tourné vers la personne avec qui je suis en affaire depuis plusieurs années, et cela n'a posé aucun problèmes."
Commentateur : "Cette personne était le dirigeant d'une banque locale. Les banques comme la sienne ont des fonds à prêter, alors que les grandes banques ont diminué, voire cessé, leurs prêts."
Représentant Michael Capuano : "Je n'ai plus un seul centime dans vos banques ! Plus un seul ! Parce que je ne veux pas que mon argent soit placé dans des CDOs (obligations adossés à des actifs) ou des Credit Default Swaps (dérivés de riques sur les crédits), pour servir à verser de gigantesques bonus !"
Cette année, ne vous contentez pas de regarder "La vie est belle" (Capra 1946 ndt)
Prenez une grande résolution.
Si vous aimez George Bailey,
retirez votre argent de chez les Potter.
Déplacez votre argent.
Pour en savoir plus sur le transfert sans risque de votre argent, hors des banques principales, vers de petites institutions locales, visitez
www.moveyourmoney.info
Si vous laissez votre argent dans les grandes banques, ils s'en serviront pour payer les lobbyistes qui empêcheront le Congrès de réparer le système.,,
Donc,
Déplacez votre argent.
George Bailey : "Une chose encore : La ville a besoin de cette misérable entreprise, ne serait-ce que pour éviter aux gens d'avoir à ramper devant Potter quand ils auront besoin d'aide."
www.moveyourmoney.info
Vraiment, que la vie est belle !
En conséquence, depuis deux ans et demi, ce sont toutes les solutions qu'il ne fallait pas choisir que les chefs politiques du monde ont mises en œuvre (destruction des structures publiques républicaines : santé, école, retraites, justice, etc.), tout en endossant les dettes des banques et des compagnies d'assurances en échanges de leur simple parole - je n'exagère pas - qu'ils ne recommenceront pas, pendant que le système mondial de banques centrales inondait de liquidités les pires spéculateurs pour qu'ils accroissent encore leur emprise sur les économies des nations.
Aujourd'hui, la ruine menace la plupart des individus et des nations, les banques ont des bilans encore pires qu'en 2007, et les chefs politiques ne savent plus où donner de la tête pour les plus honnêtes, ou continuent d'appliquer le programme pour les plus vils, dont notre président de la république.
Mais le vent a tourné déjà depuis un moment : l'alliance Chine-Russie-Inde a décidé de survivre à l'effondrement de l'empire britannique, les génocidaires de la couronne impériale ont complètement perdu le contrôle de la conférence de Copenhague, et le peuple américain rugit face à l'incompétence et au vice qui tentent de l'écraser depuis la Maison-Blanche et Wall-Street (succursale londonienne bien connue).
Outre la violente réaction contre la parodie criminelle de programme de santé "universel" proposé par Obama, qui n'intéresse que les compagnies de santé privées, les pharmaceutiques, et les apologues de l'euthanasie - avec leur rapport qualité/coût des soins - et la catastrophe des saisies immobilières qui a rempli depuis deux ans les villages de tentes à travers tous les États-Unis, c'est maintenant aux banques de tenter de presser le citron des derniers américains disposant encore de revenus, en leur imposant des pénalités de prêteurs sur gages et des hausses arbitraires de taux d'intérêts selon leur besoin de liquidités.
Rappelons que ces banques ont reçu des contribuables de la planète entière des milliers de milliards de dollars et d'euros de la part des banques centrales et des nations (vous avez payé, cher français, pour eux aussi, si si !).
Mais toutes les orgies ont une fin, heureusement. Aux USA arrivent les élections de mi-mandat, où les élus qui ont soutenu le plan de sauvetage bancaire, comme ceux qui soutiennent le plan Obama de santé "publique", vont se faire laminer par la population enragée. Dans le même temps, Ariana Huffington, du Huffington Post, l'un des sites politiques les plus consultés aux USA, a lancé une campagne qui connaît un développement viral, et qui est à même de faire fermer - littéralement - les principales banques de Wall-Street, sans mettre en danger ce qui reste de l'économie physique US.
Cette campagne s'appelle "Move Your Money", "Bouge ton argent" en français. Un excellent article en parle sur le site Rue 89. Voici ci-dessous la vidéo de campagne qui se propage dans tous les foyers américains, avec la traduction française à la suite :
Traduction :
Il était une fois en Amérique...
Voix off : "Voici George Bailey. Le voici lorsqu'il avait 12 ans."
Des hommes tels que George Bailey dirigent de petites banques locales.
Père de George Bailey, Peter Bailey : "Tu sais, George, je pense que, d'une manière modeste, nous faisons quelque chose d'important. Nous satisfaisons un besoin fondamental : le désir d'avoir un toit et une cheminée à soi."
Ils en gagnaient correctement leur vie, mais ils rendaient aussi meilleure la vie des gens.
George Bailey : "Entrez dans le château Martini ! Que joie et prospérité règnent ici à jamais."
Mais ailleurs, des hommes tels que M. Potter avait une autre idée.
M. Potter : "Et quel est le résultat ? Une populace mécontente et paresseuse au lieu d'une classe ouvrière économe."
George Bailey : "Souvenez-vous que cette populace dont vous parlez, travaille, fait vivre cette ville, y naît et y meurt."
La cupidité d'hommes tels que M. Potter nous a plongé dans la Grande Dépression.
Taxi : "Il se passe quelque chose de bizarre à la banque, George."
George Bailey : "Je vous en supplie, ne faites pas ça ! Si Potter met la main sur cette banque de prêts et constructions, on ne verra plus une seule maison décente se construire dans cette ville !"
Congressiste US: "Ce ne sont pas ces gens à qui l'on devrait demander de payer pour le renflouement !"
Autre congressiste US : "La plupart d'entre vous, si ce n'est tous, qui êtes engagé dans ces activités, avez en réalité créé cette crise !"
Ils ont développé des institutions de plus en plus grosses, de moins en moins régulées, en ne se souciant pas de leurs clients.
Journaliste : "Bank Of America est trop grande pour qu'on la laisse s'effondrer..."
Sénateur US: "Donc, ce que vous dites, c'est que ces quatorze banques sont trop grandes pour qu'on les laisse s'effondrer ?"
Timothy Geithner, actuel secrétaire au Trésor : "Je ne pense pas, sénateur, que j'utiliserais cette formule, mais..."
Lorsque la panique a frappé, Potter et ses semblables se sont saisisl'occasion d'exploiter l'insécurité du peuple.
M. Potter : "Avez-vous vraiment relancé vos clients pour qu'ils paient leurs traites hypothécaires ?"
Peter Bailey : "Les temps sont durs, M. Potter, beaucoup sont au chômage."
M. Potter : "Hé bien, faites les saisir !"
Peter Bailey : "Je ne peux pas faire ça ! Ces familles ont des enfants !"
M. Potter : "Hé, ce ne sont pas mes enfants !"
Présentatrice Gerri Willis : "Toutes les grandes villes du pays constatent une très forte hausse du nombres de gens ayant perdu leur maison."
Mais les banques telles que la Bailey Building & Loans ont continué à soutenir leurs clients, en les gardant à flots à travers la crise.
George Bailey : "Très bien. Maintenant, Madame Thompson, combien voulez-vous ?"
Mme Thompson : "Mais c'est votre argent !"
George Bailey : "Ne vous inquiétez pas pour ça. Combien voulez-vous ?"
Mme Thompson : "Je peux me débrouiller avec 20 dollars..."
George Bailey : "20 dollars, très bien..."
Mme Thompson : "...et je veux vous signer un papier..."
George Bailey : "Vous ne me signez rien du tout. Je vous connais, je sais que vous me rembourserez quand vous pourrez, c'est bien."
Pour aggraver encore les choses, M. Potter et ses semblables se sont abaisser jusqu'à voler l'argent durement gagné des contribuables.
Présentateur : "Des millions et des millions de dollars sont payés sous forme de bonus par le géant des assurances AIG."
Autre présentateur : "Les 20 plus grandes banques renflouées ont reçus 283 milliards de dollars payés par les contribuables, et les dirigeants de ces 20 banques en péril ont malgré tout reçu d'énormes salaires."
George Bailey : "Nous devons retrouver cet argent ! Oncle Billy, écoute, réalises-tu ce qui va nous arriver si nous ne le retrouvons pas ?"
Représentant Kucinich : "Les banques thésaurisent l'argent."
Représentant Elijah Cummings : "Cela reviens à prendre ces dollars durement gagnés par les citoyens américains, pour les gifler avec !"
George Bailey : "Où est cet argent ? Te rends-tu compte de ce que cela signifie ? Cela signifie la banqueroute, le scandale, la prison ! L'un de nous deux va finir en prison, hé bien, ce ne sera pas moi !"
Pendant un moment, même George Bailey sembla sur le point de se soumettre à Potter. Se soumettre à Potter !
Mais le peuple de Bedford Falls eut une meilleure idée.
Citoyen de Bedford Falls : "Je n'aurais pas de toit au dessus de ma tête sans toi, George !"
Citoyenne américaine : "Je me suis tourné vers la personne avec qui je suis en affaire depuis plusieurs années, et cela n'a posé aucun problèmes."
Commentateur : "Cette personne était le dirigeant d'une banque locale. Les banques comme la sienne ont des fonds à prêter, alors que les grandes banques ont diminué, voire cessé, leurs prêts."
Représentant Michael Capuano : "Je n'ai plus un seul centime dans vos banques ! Plus un seul ! Parce que je ne veux pas que mon argent soit placé dans des CDOs (obligations adossés à des actifs) ou des Credit Default Swaps (dérivés de riques sur les crédits), pour servir à verser de gigantesques bonus !"
Cette année, ne vous contentez pas de regarder "La vie est belle" (Capra 1946 ndt)
Prenez une grande résolution.
Si vous aimez George Bailey,
retirez votre argent de chez les Potter.
Déplacez votre argent.
Pour en savoir plus sur le transfert sans risque de votre argent, hors des banques principales, vers de petites institutions locales, visitez
www.moveyourmoney.info
Si vous laissez votre argent dans les grandes banques, ils s'en serviront pour payer les lobbyistes qui empêcheront le Congrès de réparer le système.,,
Donc,
Déplacez votre argent.
George Bailey : "Une chose encore : La ville a besoin de cette misérable entreprise, ne serait-ce que pour éviter aux gens d'avoir à ramper devant Potter quand ils auront besoin d'aide."
www.moveyourmoney.info
Vraiment, que la vie est belle !